André Coustenoble – Auteur Compositeur

Ce morceau a été composé à la guitare en 2003, année ponctuée d’événements pénibles en ce qui me concerne. Plus récemment, l’idée d’origine archivée sur une bande magnétique a été arrangée selon les sentiments qui me traversaient à l’époque : injustice et colère.

J’aime évoquer les animaux dans ma musique (« Danse du serpent à sonnette », « Desert of Kheops », « African Peacock » etc…). Dans ce titre la chorale humaine se mélange avec celle de chiens pour créer quelques instants d’angoisse dans ce titre d’inspiration classique au départ.

Imaginé à la guitare un soir de Noël, ce morceau a été écrit et arrangé dans la foulée. Il est simple et sans autre prétention que d’évoquer les rythmes et traditions de nos vigoureux cousins ibériques. Pourtant, c’est ce morceau qui a séduit le plus de streamers pendant un moment avant d’être dépassé par d’autres œuvres.

Il s’agit bien d’une course musicale vers la lumière fascinante du soleil. L’arrangement est classique mais le rythme régulier et rapide est libéré de l’académisme traditionnel. Il a séduit dès sa sortie.

Il s’agit de d’une expérience de mélange de sonorités incongrues que j’ai mis à disposition sur les plateformes pour voir…finalement, elle a intéressé quelques streamers. C’est une information dont j’ai tenu compte dans pas mal de mes compositions qui ont suivi. Pourquoi « 309 » ?… parce que ce morceau a été créé en septembre 2023 (…et mis en ligne seulement un an plus tard)

Ce morceau d’abord imaginé à la guitare a été arrangé en « classique-jazz » avec un minimum de sonorités. Je l’aime par sa légèreté dénuée de riff accrocheur et la douceur de la flûte. Il n’a pratiquement jamais été écouté hormis un bon nombre de fois en Thaïlande

C’est l’un des premiers morceaux proposé sur les plateformes. Le composer était plutôt amusant. Le recours à un rythme de djembe en association avec le Sitar m’a bien dépaysé.

Pourquoi pas essayer de composer sur un rythme inspiré par la nature ? C’est ainsi que j’ai cherché un jour à reproduire le rythme d’un cheval au galop sur une portée de percussion. Au début du morceau , le piano intervient en accompagnement du solo de violon bien galopant avant de reprendre le leadership au milieu du morceau pour un solo Jazzy qui tient le rythme avant de laisser à nouveau place au violon. Le montage visuel a été réalisé à partir d’une photo de Jacques Kérébel.

Voici une tentative de musique électronique. La composition a été initiée sur la base d’un thème rotatif mais ma culture classique a pris le dessus au fil des arrangements pour déboucher sur un drôle de cocktail mystico-déjanté . C’est plutôt sympa pour un artiste qui se cherche d’arriver là où il ne s’attendait pas…..en espérant que l’auditeur y trouve aussi son compte. En tout cas quelques amateurs se sont réveillés récemment aux Etats-Unis.

Cette pièce musicale évoque le trouble qu’un violon libre et acrobate peut générer dans le cœur d’une novice que la musique sort de son recueillement mystique. Les émotions se réveillent au son des mélodies et des accords qui traversent les murs épais de la convenance, en l’occurrence un cloître. Ses questionnements prennent la forme d’un cantique : ” O Domine, haec musica unde venit? Quae ex Deo est, quae est ex diaboli. Quae accepit nobis ad caelum ubi accepit nobis ad infernum ?” « Oh Seigneur, cette musique vient-elle de Dieu ou du Malin ? Nous emportera-t-elle au ciel ou en enfer ? »